Il y a quelques temps, à l'occasion d’échanges dans des commentaires, nous avons parlé des hommes et des femmes dessinées par John Byrne, du temps de ses Uncanny X-Men (hello plumoc)
L'image ci dessus m'est de suite revenue en mémoire. Un côté sexy en diable dans cette façon de dessiner Ororo
Ce Monsieur, sur caf, a acheté l'original.
Admirez le trait et l'encrage de Terry Austin (avec même du crayon en fond)
C'était un fameux duo que celui formé par Byrne et Austin.
RépondreSupprimerEt puis quels épisodes, quel run ! Je ne crois pas qu'on s'en remette jamais quand on a commencé à lire des comics avec Claremont-Byrne-Austin, ça fait partie des bd formatrices pour tout fan.
Et, c'est vrai, soit dit en passant, que JB a l'art de dessiner des gonzesses sexys en diable, sans sombrer dans la vulgarité.
J' ai un peu redécouvert le Byrne première époque et ça a été un choc.Il avait vraiment saisi un truc.Son vocabulaire narratif était ultra efficace avec cette diabolique manière d' embarquer le lecteur.Là ou il le voulait.
RépondreSupprimerEt il faut parler aussi de sa capacité à multiplier les cases d' anthologie durablement imprimées dans l' esprit des lecteurs.Des années après, elles sont là aussi claires que possible et ,on les redécouvrent comme si c' était hier qu' on les avaient vu pour la première fois.
je ne peux qu'être d'accord vu que l'un de mes premiers souvenirs de comics est une pleine page de Byrne (Colossus arrachant une souche d'arbre :-)
RépondreSupprimerByrne a effectivement inoculé le virus comics à beaucoup de monde et ses nanas d' enfer y sont pour beaucoup.
RépondreSupprimerSon Ororo d' alors est inoubliable!!