Une entrée sur Chateauvallon/ Herbert Leonard? Il est devenu fou? Mais non, c'est juste sur John Buscema et ces deux mots le résument assez
Choix bien subjectif, de jolies images
Un Fury top classe, à la tête proche du crayonné ci dessus
Le même gars, dont on sent l'accablement en 3 traits
Pas vilaines les nanas made in Big John
Bout d'encrage d'un ancien hommage à Moebius (bouquin superbe d'ailleurs)
Beau, et drôle
Juste un layout, parmi des milliers, dont j'aime la simplicité efficace
The personnage de Buscema, Conan, ici finement encré par lui même
Idem sur une pleine page 100% J Buscema
Rough de LA couv de Wolverine, celle du 1
La magie de Al Williamson à l'oeuvre sur Logan
Pareil. Qu'il était bon ce démarrage de run
On reste sur "Patch", mais on passe sur des finitions de Klaus Janson
Il n'a encré qu'un numéro, celui ci
mais il a fait équipe avec Buscema, sur des épisodes découpés en tranches (logique avec "Serval") dans Marvel Comics Presents, et compilés en France chez Semic, sous cette couv
Attention la couv est crayonnée par Alex Saviuk, et non Buscema (encrage, évident, de Janson)
Contrairement à l'épisode 2 de la série régulière, l'encreur intervenait là sur des crayonnés moins poussés. Ca se voit quand même bien
j'avais été bien accroché par cette pleine page d'ouverture
J'adore !
RépondreSupprimerI aim to please
RépondreSupprimerj'adore aussi et j'enrage car je ne possède aucun original (même pas un p'tit sketch) de John Buscema) dans ma collection. Honte sur moi.
RépondreSupprimerCumuler les originaux ne fait pas tout :-) J'avais une planche de Conan, revendue, mais qu'importe, le plaisir des yeux reste là, toujours. Grand bonhomme le Big John
RépondreSupprimerCertains affirment que sa rencontre avec le style Kirby-le style narratif s'entend et le formatage de Big John à la Marvel way-est la pire chose qui lui soit arrivé!
RépondreSupprimersurement du fait des dires de Big John lui même : Stan Lee adorait son style mais quand il a voulu en changer un peu (sur un Silver Surfer) Lee lui aurait dit de revenir à son "ancien style", plus Kirby en effet
RépondreSupprimerIl en est resté amer longtemps le Buscema
Ceux qui regrettent ce chemin "kirbien" pris par Buscema pensent au style premier du bonhomme avec des planchent bien plus travaillées et riches .Plus "décoratives" en fait et moins axées sur la seule efficacité narrative .
RépondreSupprimerBuscema le productiviste dont le rêve était de faire une carrière dans les journaux plutôt que dans les comics et de passer une semaine sur chaque planche.C'est un vrai regret cette orientation "marvel way" pour certain de ses fans et pour certain de ses collaborateurs!Une impression qu'il aurait pu être encore plus grand...
Ceux qui regrettent ce chemin "kirbien" pris par Buscema pensent au style premier du bonhomme avec des planches bien plus travaillées et riches .Plus "décoratives" en fait et moins axées sur la seule efficacité narrative .
RépondreSupprimerBuscema le productiviste dont le vrai rêve était de faire une carrière dans les journaux plutôt que dans les comics et de passer une semaine sur chaque planche.C'est un vrai regret cette orientation "marvel way" pour certain de ses fans et pour certain de ses collaborateurs!Une impression qu'il aurait pu être encore plus grand...
je serais curieux de voir ces pages de "jeunesse" C'est vrai qu'il a tjs dit ne pas aimer l'industrie du super héros; Probablement un peu de côté "grognon professionnel" mais pas que, parce que lors que l'on voit les beautés qu'il faisait au dos de ses planches...
RépondreSupprimerSûr,il y a(trop) souvent un monde entre ses sublimes sketchs et les planches qu'il dessinait et encrait.Et c'est dommage .
RépondreSupprimerGrognon professionnel oui,il aimait bien cette posture,et surtout ,d'après son frère, était extrêmement jaloux de l'encrage des autres.
Il pestait sans arrêt sur ces encrages fait par d'autres, et,quand on lui a proposé de toujours s'occuper lui même de celui ,encrage,de ses planches de Conan :il prétextait qu'il y avait des délais à tenir...
interessant Et son approche, cynique, était étonnante : là où des dessinateurs, confiants sur l'encreur, vont se lacher et moins peaufiner, Buscema faisait le contraire : il poussait son crayon quand il savait que l'encreur serait bon (sauf quand l'encreur demndait des roughs, comme Palmer) et se cassait moins quand il savait que l'encreur serait moins à son gôût car, de toutes façon, "le résultat sera moche, que je bosse ou non"
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