Man Without Fear, par Miller/Romita jr/Williamson, aux débuts des '90, fut l'un des points clefs de la carrière du dessinateur
A la demande générale, non en fait juste suite à la promesse faite à Vinc dans un commentaire d'entrée précédente, voici les seules images au crayon qui circulent de nos jours
celle ci fut reprise dans au moins 2 publications.
Images non utilisée (Harvard en fond)
Et celle ci n'est parue que dans l'indispensable revue Comic book Artist numéro 20, pour moitié consacré à la famille Romita, et pour moitié à la famille Kubert.
Encore une image non retenue
Si quelqu'un en connait d'autres, surtout qu'il n'hésite pas
Pour finir, la très belle 1ère page
La mythique double page finale
Et deux images qui me faisaient rêver, avant parution, en teasing dans, je crois, le mag Dangereuses Visions. Reproduites en mini on ne devinait même pas ce que représentait la case en insert. Quant à la seconde, si je suis curieux de savoir ce que le crayonné présentait, on peut dire que l'encrage de Williamson était à son sommet
Quelle finesse dans l'encrage ce Williamson !
RépondreSupprimerDéfinitivement son encreur à égalité avec Janson (je viens de relire en partie le run du duo sur Thor et c'est pas mal du tout).
je suis intarissable sur ce sujet :-)
RépondreSupprimerDes duos furent sympathiques (avec Wiacek, Green) d'autres furent 95% rendu encreur (Layton) d'autre sont plus "modernes" au sens encrage pointilleux (Morales, Miki, Hanna) mais pour moi il n'y eu, a et aura que deux encreurs qui magnifient Romita jr : Williamson pour l'apport de finesse et de fragilité, et Janson pour la puissance
Merci Philippe !
RépondreSupprimerCes 2 crayonnés sont absolument splendides.
C'est vrai que Romita Jr a eu sa maturité avec DD, peut-être aussi que les scénaristes (Nocenti puis Miller) y son aussi pour quelque chose, les histoires étaient porteuses. Williamson aussi bien sûr, mais surtout, le dessin est tellement puissant et tellement évident. Il n'y a pas d'artifices, juste une compréhension des codes comics et une telle pureté de traits, de découpages, que ces runs DD sont des joyaux du genre.
clair que ce personnage fut "diablement" gâté
RépondreSupprimerOn sent quand même qu'il s'était mis la pression Romita JR....Qu'est-ce qui a bien pu lui faire croire qu'il allait être observé?:)
RépondreSupprimerCe serait pas la meilleure période de Romita JR,alors que son efficacité devenait optimale et que son dessin avait intacte toute la force de son glamour?C'est particulièrement beau.Et le noir et blanc ne gâte rien.
Romita JR et Williamson se sont choisi ou c'était un binôme composé par un éditor?Inspiré pour le coup!
Ça mis à part:je regarde toujours la double page avec le même plaisir à chaque fois.
de mémoire il avait demandé si Williamson était disposé (et libre) à rester sur le titre à son arrivée et ce fut un oui. Et comme à l'époque les editors aimaient bien les encreurs garants d'une continuité graphique (genre Janson à l'arrivée de Miller) donc feu vert
RépondreSupprimerCette double page est à tomber (j'ai eu la repro de l'original, format géant, des mois sur mon mur d'étudiant :-)