Et au plaisir de continuer à échanger avec vous sur notre passion commune
Sans compter qu'il y a quelques entrées sympas qui se profilent sous peu, entre autres pour qui aime la cuisine interne/process/Klaus J.
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Sans compter qu'il y a quelques entrées sympas qui se profilent sous peu, entre autres pour qui aime la cuisine interne/process/Klaus J.
Daredevil est le dernier comic que je suis en single us, tout le temps
Celui ci est très récent
L'arc actuel me fait lever un sourcil, guère plus, mais ce n'est pas le sujet
DD libère des "super prisonniers" et leur demande ce qu'ils voudraient, pour rejoindre son équipe (oui il a une équipe, avec...allez non je ne spoile pas)
Cette case m'a fait bondir : Lance serait mort!?
Voici la séquence qui va suivre, entre DD et celui qui est parmi mes "super vilains" favoris : Bullet
Lance, c'est donc le fils de Bullet, focalisé sur un risque de guerre nucléaire
Il ouvre, en 1988, le meilleur run du monde de DD
Les relations avec son mercenaire de père étaient fines, et passionnantes
On le retrouve, ainsi que son père, 41 numéros plus tard, lors du grand final de Nocenti au scenar
Revenons à l'épisode du mois dernier, et à cette case
je n'ai lu aucun comic de cette série continue Old Man Logan, ayant à peine survolé quelques pages sympas de Deodato Jr, tout le reste ne m'attirait pas
Je suis allé voir
Je ne reconnais pas "mon Bullet", c'est rien de le dire
Bullseye le menace, avant de le torturer, de tuer son fils
Logan envoie ce très étrange personnage translucide retrouver Lance, après une couv clin d'oeil de Deodato Jr
On apprend la mort de ce merveilleux personnage qu'est Lance, puis arrive la revanche, une de plus, contre Bullseye
Je ne sais pas si ce jeune perso est mort ou si, ce qui est probable, son père l'a mis à l'abri comme le dit Bullet dans le récent DD évoqué. Si c'est le cas je me demande si un scénariste saura réellement s'emparer de ce potentiel
j'imagine qu'il ne vaudrait mieux pas
Bullet, DD et une couv quasi inédite en vf (tronquée en 4 de couv du rcm lançant la série)
Quant au look actuel de Matt/DD barbu et avec un masque "plus réaliste", je lui préfère, et de loin, la version JRjr/AW
Terminons avec ce même duo magique, sur des trading cards pas forcément très connues, dont la dernière est posée à côté de mon ordi pendant que je tape ces mots
Là encore j'axe les entrées sur la partie graphique essentiellement, ayant trop peu lus les épisodes
Sienkiewicz parti, c'est la cata il faut trouver une équipe au dessin
Avant qu'elle ne se stabilise, à peu près, il va y avoir un sacré paquet d'essais, de fill in, de choses étranges et merveilleuses, mais Claremont reste à la barre et harmonise le tout
Il y a vraiment des pépites au milieu des couv et des pages
Steve Leialoha est très bon, et assez charbonneux à l'encre pour ne pas trop choquer visuellement en passant le titre à un rendu trop clean
Etrange chose que ce retour de Sienkiewicz, mais en tant qu'encreur le temps de quelques épisodes
Cela dit il "traite" le crayonné de Mary Wilshire comme BW Smith (un BWS qui tue avec la couv du 36) traitait celui de Trimpe sur Machine Man et au final on voit beaucoup de Sienkiewicz (mais sans la folie du découpage)
Magnifique combo Leonardi/Sienkiewicz sous une couv d'Art Adams (et la couv inédite de Leonardi)
Une couv Adams/Sienkiewicz pour un numéro très clean qui dénote de ce fait, par Keith Pollard
BWS devient le cover artist de luxe, et NM trouve son dessinateur "régulier", Jackson/Butch Guice. Il est net, un peu raide par endroit et l'encreur devient important
Kyle Baker est parfait, "sale" comme il faut tout en respectant le trait
encore un fill in, par celui qui reviendra, ne fit pas l'unanimité mais moi j'aime, Bret Blevins
Guice revient pour un numéro, avec John Beatty
Le très grand Léonardi revient, avec la preuve éclatante de l'intérêt d'un encreur et, surtout, du plaisir qu'il y a à comparer: Dan Green puis Terry Austin, deux approches quasi opposées sur un même dessinateur et un résultat superbe dans les deux cas (même si je penche vers Green)
Et voici l'ultime numéro de Chris Claremont, qui sera suivi par Louis Jones
La couv est de Mignola et le dessin "boucle une boucle" : Sal Buscema (et Austin, qui encre aussi la couv)
Une nouvelle époque s'ouvre, loin d'être inintéressante