Je ne suis pas un "DC guy", et parmi les "vilains" de cet éditeur seul le Joker m'a intéressé. Du fait du traitement des ces auteurs j'imagine
Jerry Robinson l'a créé, pas Bob Kane bien sur
2 œuvres m'ont marqué, avec ce perso
The Killing Joke, je l'ai découvert en vf
avec cette couv, et cette version souple/kiosque en fait
sans la titraille
Clin d'oeil de Bolland lui même dans cette illue
Le traitement par Alan Moore m’avait un peu perturbé, ado, de part les sévices présentés et la connivence Joker/Batman
Graphiquement c'était chouette
Crayonné de Brian Bolland, et version publiée (j'ai copié cette grande case un certain nombre de fois!)
Deuxième œuvre fondatrice du perso (entre autres) : Dark Knights Returns
Prétexte pour montrer à nouveau sa mort dans la version Miller/Janson non publiée (à gauche) et sa publication avec patchs d'encrage de Miller
Un Joker dément, mais classe. Fascinant
Loin de ce traitement j'ai, plus tard, bien apprécié le côté cartoon poussé de Bruce Timm, dans Mad Love
A l'opposé de cette approche je ne suis pas fana de l'ultraréalisme découlant de l'influence Heath Ledger/ciné
Ici, Lee Bermejo
Seule exception, car poussée à l’extrême : Greg Capullo et la démence absolue du personnage.
Terrifiant
Romita Jr fut entre les deux, et j'aime beaucoup cette couv
C'est Bret Blevins qui résume le mieux, en un seul dessin, l'origine du Joker : Conrad Veidt, dans une adaptation de l'Homme qui rit, de Victor Hugo
5 commentaires:
Par rapport à l'image du Joker par JR Jr que tu as choisie pour l'article, je préfère la version dans le crossover Batman/Punisher...
Et sinon, je suis tombé sur un Joker par Matt Wagner dessiné pour l'occasion de l'avalanche de variantes covers pour DKIII
C'est vrai que son joker en Armani était cool
Par contre Wagner...jamais accroché
Conrad Veidt et aussi plus tard Richard Widmark dans kiss of death (1947) car là encore c’est quasiment le joker sur grand écran avant l’heure…
Il a d’ailleurs tellement marqué les esprits (le coup de l'escalier notamment)que la scène, dans le bar, où il joue au chat et à la souris avec Victor Mature est encore présente lorsqu'un demi-siècle plus tard Christopher Nolan, confrontera le Joker à Batman dans un commissariat au détour d'un mémorable : "Je ne veux pas te tuer".
Philippe Fadde
j'aime bien le joker de bruce timm même s'il est un peu soft quand même. Mais l'adaptation de killing joke en version animated est complétement ratée !
pas vue, mais je me méfie tant des adaptations que celles sur des comics cultes me font encore plus peur
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