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vendredi 11 novembre 2011

Le Der des Der

En ce jour de mémoire un peu spécial, qui de mieux que Tardi pour une mise à l'honneur. Celui qui a le mieux parlé de la "grande guerre"
Probablement l'un des auteurs majeurs de ce siècle
Mais je ne parle pas là de ses récits sur la guerre (incontournables). J'évoque juste mon 4ème coup de coeur 2011 (après Pedrosa, Davodeau et Larcenet pour ceux qui suivent)
Ce livre est le 3ème de Tardi adaptant Manchette. Je sors volontairement Griffu de la liste car je parle là de ce qui consitute une sorte de trilogie avec La position du tireur couché et Le petit bleu de la côte ouest (même si ces livres ne furent pas écrits dans le même ordre par Manchette)
Comme pour ses frères, ce bouquin porte tout le talent de Manchette et Tardi ajoute une couche. Une osmose jouisive, pleine d'ambiance, de décalage, de petit riens bien noirs...
Un régal 

5 commentaires:

Laurent SIEURAC a dit…

Yep, je l'ai lu hier soir et en effet il est très bon comme toujours chez Tardi d'ailleurs.

Tient a propos de tes coups de coeur, le Davodeau est en effet plutôt très sympa( même si parfois trop dans la démostration!). Le Larcenet est vraiment rigolo et la chute vraiment bien.

Je dois reconnaitre que comme les trois ombres ne m'avaient pas plus marqué que cela, le Pedrosa attendra un peu...

Philippe Cordier a dit…

Ue faille, je trouve enfin une faille de goût chez toi : 3 Ombres est MAGNIFIQUE, mécréant :-)

Laurent SIEURAC a dit…

Oh, il y en a d'autres dans ce goût là du style les deux précédents Peeters (je n'ai ps lu le nouveau!) que j'ai trouvé plus que moyen ou le Trondheim/bonhomme (Omnibilis) qui m'est tombé des mains par exemple!!!

Zaïtchick a dit…

Tardi sait mieux raconter les histoires que les imaginer.

Philippe Cordier a dit…

sauf s'il parle de 14-18 Zait' car C'était la Guerre des Tranchées quand même...
Et Lolo je ne parle de faille de goût qu'au regard du mien : je ne suis pas fana du Peeters, et je ne mets pas Omnibilis au rang d'une lecture hors du commun (même si j'ai aimé) Donc on reste à une seule faille : -)