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dimanche 21 janvier 2024

Marcos cover

 

En attendant le troisième, et dernier, volume de Friday, un peu de Marcos Martin à se mettre sous la dent

Il fait de temps en temps des couv et il est aussi bon que sur de l'intérieur

Le dessin ci dessus est récent, et comme souvent avec lui il a une compo extra, travaillée, avec intégration du logo/titre

Excellent

En voici d'autres, soit récents soit qui m'avaient échappés













Il est un peu comme Lee Weeks, à savoir toujours aussi bon avec les années, voire en progression


5 commentaires:

Laurent Lefeuvre a dit…

Aaaah !

Moi qui me dis souvent :
"Je suis blasé, et incapable d'apprécier ce qui se fait aujourd'hui (poses iconiques à tout va)", Marcos Martin et une infime poignée d'autres me rappellent que oui, on peut demander à un dessin d'être bien composé, et dire quelque chose de pertinent, simple, sur la caractérisation d'un personnage, et de là où il en est dans son histoire, au moment où il est dessiné.

On le voit dans quasiment tous les exemples de ta galerie (à part peut-être celle de Green Arrow , par exemple) : Plus que de belles couvertures "iconiques" (ça, même les IA savent faire les poses à la con vuues un million de fois), ou sur de prétendus hommages en reprenant une couv "culte" d'il y a 50 ans... Marcos réfléchit, et propose... une IDÉE !


Et le plus fort, c'est qu'il le fait sans singer d'autres styles (genre, "sous-Byrne", "sous Darwyn Cooke" ou "sous-Jim Lee", qu'importe), Marcos Martin est identifiable au-delà de la signature graphique (la manière de faire des yeux ou une bouche, par exemple).

Son "œil" (son point de vue), est pour moi aussi personnel, que celui d'un photographe.

C'est une démarche inspirante et rare.

Philippe Cordier a dit…

Exactement !!!

Gilles a dit…

Amazing!

lionel a dit…

Sensational :) Finalement tes visuels montrent bien que l'originalité et la créativité sont toujours possibles. Mais que ces dernières butent face au conservatisme des majors. Sauf le temps de quelques couvertures magnifiques :) J'ai vraiment l'impression que l'époque d'un Jim Shooter représente la dernière vraie période de créativité débridée de la Marvel.

Franck.Biancarelli a dit…

C'est chouette.