Il faudrait que je me penche, un jour, sur la relation, riche et complexe, entre Matt et Foggy
En attendant, l'une des nombreuses scènes terriblement bien trouvées vient, encore, de Born Again. Foggy plaide pour que Matt ne perde pas tout, et n'aille pas en prison
Un grand et beau moment
Miller/Mazzucchelli
Des années plus tard, Ann Nocenti termine, dans l'indifférence quasi générale des fans de comics, un run digne des meilleurs. Lee Weeks (dont le Mazz' fut une influence majeure) est au dessin de cet ultime épisode de la grande scénariste. La dernière page est un bel écho à celle de Born Again
Comme je n'ai peur ni du choc thermique, ni du grand écart, lundi...Rob Liefeld!
4 commentaires:
Es-tu sûr que c'était vraiment totalement dans l'indifférence générale ?
Découvrir Lee Weeks, à l'époque, sur ces numéros là, m'avait justement marqué.
Je m'étais dis qu'on tenait là un tout bon. Je ne devais pas être le seul.
Depuis, mon avis sur lui n'a pas changé, et rien que son Batman Annual #2 reste pour moi un des plus beaux moments de lecture de cette année. Un (très) grand.
je parle du run complet de Nocenti
indifférence quasi génerale au sens où bien des fans de Miller sont partis, qu’elle a eu une valse de dessinateurs qui a fait passer le début de son run complètement inaperçu, puis le run avec Romita jr ne fut reconnu, au niveau critique, que postérieurement
Pour Lee Weeks je crois qu'il fut assez vite reconnu. Perso je le trouvais bien, puis très bien, puis excellent, et aujourd'hui encore mieux :)
Voilà un sujet très intéressant : ce qui relie Matt et Foggy, l'aveugle sans peur et l'ami brumeux...
Qu'est-ce qui les rattache ainsi? Quel est la place que prend Foggy dans la vie psychique de Matt?
Ces images sont très parlantes : ces deux hommes dans les bras l'un de l'autre. Un écho à quelques épisodes d'intervalle. Bien... vu!
il fut ami fidèle, alibi vivant, faire valoir, héro/détective (cf l'excellent Guts de Miller/Janson)encombrant partenaire, meilleur ennemi, ami dans le besoin...en mixant avec l'aspect judeo chrétien de la série, on a un sacré cocktail
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