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mercredi 22 décembre 2010

Géant, hors BD

 A l'approche de Noêl, une entrée hors sujet pour célébrer, ce mois, les 94 ans de celui qui fut mon idole de jeunesse, Kirk Douglas.

Le film de lui que je préfère

Suivi de très près par celui ci

Et bien sur

Puis 
Et 
et enfin
Un air de famille?

Allez, un peu de BD quand même : le Monsieur par Uderzo


Et surtout : Kirk Douglas est né en 1916. Son épouse (ici) : Anne Douglas


Mon autre idole, de BD cette fois : Will Eisner : Né en 1916. Son épouse (ici) : Ann Eisner
Si on ajoute que ceux deux là ont, à leur façon, chacun révolutionné leur domaine et à la même époque, c'est "amusant"

6 commentaires:

Zaïtchick a dit…

La biographie de Kirk Douglas, Le fils du chiffonnier est captivante. Recommandée.

Philippe Cordier a dit…

je confirme Elle m'a marqué car lue à l'époque (90) et je me souviens de tas d'anecdotes comme si c'était hier (dont la dernière de Kirk D bombant la poitrine en croisant une minette qui le regarde et dit..."oh le père de Michael Douglas! : -)
A lire

Anonyme a dit…

Aaaah, les acteurs d'Holywood transformés en persos de BD : Vaste débat !-)

lefeuvre a dit…

Oups !
J'ai pas signé, mais l'anonyme du message au-dessus, c'est moi.

Philippe Cordier a dit…

hé hé Moi je trouve ça fun quand c'est secondaire Quand par contre le héros de BD pique les traits d'un mec réel je tique plus (Sam jackson..) Tiens c'est marrant ca me rappelle une conversation hors Blog avec un certain Laurent L : -)

lefeuvre a dit…

Ah mais chez Mark Millar c'est pas pareil, Phil : Il fait ses courses d'acteurs pour les adaptations au ciné auxquelles il pense déjà au moment où il imagine ses histoires !


Il a quand-même bien dû se marrer quand Nicholas Cage a mordu à l'hameçon pour le film Kick-ass... quand on sait que ça fait plus de 20 ans que le neveu de Coppola qui a pris le nom de Luke "Power-man" Cage pour faire carrière attend la moindre occasion pour jouer les super-héros à l'écran. Son arlésienne de Superman avec Tim Burton en est un bon exemple.


Quant à Wanted, entre Eminem, Halle Berry et Tommy Lee Jones soigneusement dessiné dans le comics... pas sûr que Millar aie été déçu du casting final (Angelina, Morgan Freeman qui cachetonne...).


Pour Samuel Jackson aussi, il semble que ça paie. Le comics comme prospectus des futurs-nanars d'Hollywood... Je ne suis pas sûr que c'est ce qu'envisageait Alan Moore en 1986.

Et pourtant en terme de cynisme, il a de l'imagination à revendre.

Bon Noël à vous les amis !