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mercredi 15 mai 2019

MCP

 Une entrée un peu lourde en images
J'ai commencé cette année, en single/vo, à suivre cette nouvelle mouture de l'anthologie Marvel Comics Presents, attiré par le visuel de cette couv, ci dessus, de Marcos Martin, et également pour comparer avec ce qui fut fait avant sur ce titre assez méconnu qui devrait pourtant être mythique.
C'est le grand Art Adams qui se charge des couv, avec du Wolverine, souvent (faut bien tenter de vendre ma bonne Dame)
 
 Déjà à l'époque des grands noms vendaient des couv (et déjà sur Wolverine) Ici,John Byrne
 Peu de numéros sont parus mais le panachage grands noms/noms moins connus semble à peu près là
 MCP 1ère époque c'est 1988/95. Dark Horse a eu un format similaire, avec Dark Horse Presents qui publia, excusez du peu, les premières pages de Sin City.
Le concept était fourre tout et donc inimaginable en compil aujourd'hui : de la place pour que les nouveaux fassent leurs preuves (un luxe de nos jours) un endroit pour que les grands noms expérimentent sans s'engager sur la durée, des anciens grands noms en recherche de publication, le tout avec des tranches de quelques pages à suivre sur quelques mois.
A boire et à manger mais, surtout, des choses introuvables aujourd'hui.
Il y a eu tant de choses que je ne fais qu'effleurer le sujet
Nous avons parlé, il y a peu, du Wolverine de Peter David/ Sam Kieth mais Kieth a fait d’autres histoires, aussi déjantées, jamais compilées
 Ce qui m' a fait acheter ce titre, c'est le fait que je ne savais pas si le récit fondateur de Barry Smith serait compilé. A l’époque on ignorait qu'il le serait autant et qu'il aurait une telle influence
 
 
 Pareil pour ce joyau de Nocenti/Leonardi/Russell
 
 Il sera bien compilé plus tard, mais pas d'autres pages de Leonardi (encrées par Palmiotti)
 C'est dans les pages de MCP que nous avons eu l'intro du titre régulier de Wolverine, par Claremont/Buscema/Janson
 là encore il y eu compil plus tard, mais pas sur d'autres pages de Buscema seul
 Des grands noms, en début de désamour auprès des éditeurs, trouvaient encore un petit refuge dans cette anthologie moins exposée, comme Gene Colan, que ce soit encré par Williamson...
 ou Tom Palmer
 Je n'ai jamais accroché au travail de Paul Gulacy mais c'est au sein de MCP que ses fans durent, un temps, le rechercher
 John Byrne offrit le prélude à sa reprise de She Hulk en courtes séquences également
 MCP fut, enfin, l'occasion pour des auteurs débutants, de faire leurs preuves. C'est aussi pour compenser cette exposition qui intéressait peu les fans, que le titre utilisait tant Wolverine et autres Ghost Rider
Ici, le jeune...Jim Lee!
 Erik Larsen, pas ultra débutant et au style déjà reconnaissable
 Enfin, une ancienne gloire des chez Image/Cliffhanger (avant de partir dans le jeu video) qui, à ses débuts, copiait clairement Art Adams : Joe Madureria!
Il va sans dire que MCP était en couleur mais j'adore montrer du n et b

23 commentaires:

Anonyme a dit…

Petits commentaires très très rapide sur cette entrée super sympa :

- "MCP 1ère époque c'est 1988/95, et il a fait des petits, tels Dark Horse Presents qui publia, excusez du peu, les premières pages de Sin City."

Euh... attention. Dark Horse Presents (1ère version) est antérieur (débuts en 1986).
Bien sûr, je ne crois pas que DHP ait inspiré MCP (Dark Horse en était à ses débuts en 1986, donc ne devait pas peser grand chose en terme d'influence sur le marché).

- les exemples que tu cites sont les plus marquants, mais j'ai le souvenir que Clandestine d'Alan Davis démarra aussi dans ce titre (sur sa fin). Voilà un numéro que j'ai eu beaucoup de mal pendant des années à trouver dans les bacs de back-issues.

Philippe Cordier a dit…

Merci pour la précision/correction, je n'ai pas vérifié, certain que j'étais de l'antériorité de MCP, je corrige

Oui Clandestine ça me revient, cette sorte de preview, et il y a eu encore tant de jolies choses (au milieu de pas mal de déchets il faut dire)

Anonyme a dit…

J'y ai repensé depuis... Ce n'est pas forcément étonnant que la mémoire joue des tours, en fait.
Si on y réfléchit bien, DHP est devenu vraiment visible sur le marché avec la période Sin City/Next Men, à partir de 1991. Avant le DHP #50, pour autant que je m'en souvienne, il n'y avait pas vraiment d'auteurs "vedettes" dedans, en particulier venant des univers super-héros. Il y avait bien sûr Concrete de Paul Chadwick pour pousser le titre, mais Paul Chadwick et Concrete ont justement émergés grâce à DHP et Chadwick était un inconnu avant, et qui est resté depuis un auteur très écarté de l'univers Marvel/DC... En fait, avant le #50, de tête, je me souviens juste de la présence de Matt Wagner avec sa bande "The Aeralist" (qui était un vrai pavé dans la mare à l'époque), et encore, je me corrige, je pense que même Matt Wagner ne devait pas être perçu comme un auteur important à l'époque... Mage et Grendel de Comico étaient connus sur le marché, mais pas autant qu'une série Marvel et DC, je pense.
Hors de 1988 à 1991, pendant ce temps là, MCP avait déjà bien roulé et présenté du Buscema, du Colan, du Byrne, et je ne parle même pas des couvertures.

Philippe Cordier a dit…

entièrement d'accord,
Insensible à l'univers Dark Horse de l'époque je n'ai eu cet ovni en visuel qu'avec l'arrivée, très discrète pour un gars de sa stature (mais c'était voulu et assumé) de Miller/Sin City

Unknown a dit…

Que de noms célèbres! J'adorai avoir une telle revue en France. Des nouveaux, des "maîtres" et plein d'expérimentations... Je ne savais pas que Colan avait connu un désamour avec les éditeurs...

Je me souviens très bien avoir lu un article dans Direct Importation Special X-men dans lequel le signataire assurait effectivement que le Weapon X de BWM ne connaîtrait jamais d'édition paperback puisqu'il paraissait dans MCP. Incroyable le nombre de pépites que Marvel possède sans les rendre disponible en album. Qui a dit qu'éditeur était un métier (je sais je me répète, sourire).

Et quels sont les auteurs présents dans la nouvelle mouture de MCP? Marvel a gardé l'idée du panachage jeunes et moins jeunes?

Philippe Cordier a dit…

Colan a eu des périodes moins fastes, mais la pire fut celle "sous Shooter"
Sans que cela ne soit toujours très justifié, mais avec un fond malheureusement réel, Shooter a considéré, un temps, que Colan bâclait ses planches et il lui a pourri la vie en lui faisant refaire et refaire...Colan l'a terriblement mal vécu et ce fut un cercle vicieux : une possible baisse de régime a entrainé ce sentiment de persécution qui a entrainé...une baisse de régime

Pour la nouvelle mouture j'en ai encore récupéré trop peu mais je n'ai pas l'impression qu'il y ait vraiment de petits jeunes

Anonyme a dit…

Au moment où Colan travaille sur MCP, de plus, je crois que cela correspond à peu près à la période où le pauvre avait contracté son glaucome. Je me souviens que j'étais étonné par certaines approximations flagrantes dans ses planches à cette époque, dont je n'ai compris la raison que bien plus part. En plus, lorsqu'il était encré par Al Williamson, il n'était pas rectifié -> l'encre de Williamson le suivait même juste dans ses erreurs (j'en ai un témoignage à la maison ;-)

Philippe Cordier a dit…

montre, c'est intéressant ça

Anonyme a dit…

Ok, mais il va me falloir un peu de temps pour çà (scans + retrouver ma doc pour les soucis de santé de Colan + étayer un peu mon hypothèse). D'ici quelques jours je pense.

Philippe Cordier a dit…

Sur la santé j'ai, si je puis dire, car c'est très référencé
Williamson suivait assez fidèlement les crayonnés, même s'il embellissait, donc je ne suis pas sidéré qu'il "conserve des erreur" mais je suis plus curieux du type d'erreur
Pas de souci si tu ne peux pas/trop long...

Anonyme a dit…

En raclant ma mémoire sur le sujet MCP, je viens de me souvenir d'une autre histoire que j'avais beaucoup aimé à l'époque : un petit récit de western par Gil Kane dans MCP #116.

Etant trop jeune pour avoir connu Kane sur ce genre de sujet (sans remonter aux années 50, il faisait encore de très belles couvertures pour les westerns de Marvel jusqu'à leur extinction dans les 70's), j'avais apprécié de pouvoir lire "en direct" ce témoignage d'une autre époque.
Je crois avoir discuté de ce récit, quelques années après, avec des connaissances qui eux aussi l'avaient remarqué et apprécié de voir Kane là-dessus. Comme moi, ils avaient un bon souvenir des plans à cheval notamment.

https://www.marvel.com/comics/issue/10029/marvel_comics_presents_1988_116

Philippe Cordier a dit…

ah oui, et du pur Kane pour les fans, crayon et encre

Anonyme a dit…

Voilà, je reviens vers toi comme promis à propos de Gene Colan. Ca été un peu lent pour diverses raisons sur lesquelles je ne vais pas m’étaler, hormis le fait que mon scanner étant hors course, j’ai dû déterrer un vieux scan en quatre parties qu’il m’a fallu « réassembler » sous mon logiciel graphique favori (les planches des projets spéciaux de Marvel de cette époque semblent un peu plus grandes que la norme, et la mienne ne rentrait pas sur le scanner A3 que j’avais utilisé. Au passage, si tu connais un site qui référencerait les différentes tailles de planches « normées » utilisées au USA au moins des 70’s à nos jours, je suis preneur -> je commence à réfléchir à trouver un art book dans lesquelles elles pourraient rentrer toutes les miennes qui ne sont pas encadrées – du moins les standards, les « faites maison » qu’on rencontre parfois, c’est autre chose -).

Ton entrée étant maintenant devenue un peu ancienne et donc moins fréquentée, cela sera parfait pour te donner des détails sans gêner le flot d’éventuels contributeurs aux discussions de tes articles.

Un petit peu de contexte personnel tout d’abord : la planche que j’évoquais est la première planche originale que j’ai achetée il y a 25 ans et la première aussi que j’ai encadrée. C’était la bonne époque où on pouvait parcourir, chez les marchands, des piles d’originaux entassés à bon prix et, quand on voulait ramener tel ou tel auteur à la maison, on pouvait comparer à loisir une vingtaine de planches. J’ai eu le coup de foudre pour la mienne. J’ai eu le loisir de passer devant durant des années et, du coup, ce que je vais t’exposer résume un des détails qui me chiffonnait parfois dans la production de Gene Colan à cette époque particulière du début des années 90. Je n’ai appris que bien plus tard pour son glaucome et qu’il avait été heureusement opéré par la suite. Je me souviens que je fus alors heureux, rétrospectivement, de comprendre pourquoi il m’avait paru revenir nettement plus en forme pour certains projets à l’orée des années 2000 (son Dracula chez Dark Horse, dont le scénario n’était pas extraordinaire par contre). Ensuite, pour bien cerner la période concernée : je sais que tu es bien documenté sur son glaucome, mais j’ai tenu quand même à bien vérifier certains points temporels ou factuels sur son état de l’époque car tout cela était un eu loin pour moi. Après, tu te feras une idée.

http://dl.free.fr/fHGogKPCy

Anonyme a dit…

Cette planche date de 1991 et est extraite du #3 de la MS « Dracula – Day of blood ! Night of redemption » qui réintroduisait le personnage. Comme souvent à cette époque chez Marvel, Colan est encré par Al Williamson (je n’ai d’ailleurs jamais compris pourquoi Tom Palmer n’avait pas rejoins le reste du cast original de « Tomb of Dracula » sur cette MS. Il faudrait lui poser la question ;-).

Lorsque je choisis la planche, je tombe en admiration sur sa composition, ses détails, le texte et tout ce qui concoure à en faire une œuvre d’art qui se tient toute seule, et pas un objet arraché à son contexte séquentiel (comme trop souvent avec les planches intérieures). Je tombe en admiration devant le cercueil magnifique de la première vignette, superbement ouvragé (sur lequel Williamson semble s’être éclaté) ou encore la troisième vignette, où je trouve que la magie du style Colan joue à plein régime.

http://dl.free.fr/vY2j4kr8T

Un détail accroche quand même mon œil et ne me troublera que bien plus tard, à force de passer dessus.
Si on regarde le bas de la dernière vignette, sur ce gros plan de la fille enamourée de son protégé, apparaît sur la gauche ce qui semble être une horloge et dont l’affichage n’est pas vraiment très lisible. Sur la version imprimée dans le comic, et donc suite aux couleurs de Lovern Kindzierski, on a la confirmation : c’est une horloge lumineuse à affichage rouge type radio réveil. La couleur nous permet à peu près de se dire qu’il est 17h22, ce qui cadre avec le contexte du récit à ce moment là (la fille elle-même regrette que ce ne soit pas encore le crépuscule). Agrandissons.

http://dl.free.fr/gFEgjR5m3

Anonyme a dit…

Le dessin de l’affichage apparaît incroyablement bâclé. On n’arrive pas à définir si ce sont des cristaux liquides (ce que semble montrer le « 5 ») ou un affichage lumineux à chiffres stylisés comme le suggèreraient les « 2 ». Peu importe que Williamson n’ait pas fermé un trait en bas du « 5 », car si on regarde juste le crayonné lui-même, plus on avance, plus ca devient du n’importe quoi, et le dernier « 2 », plutôt un point d’interrogation famélique qui se déporte vers le haut et la gauche, semble même être poussé par la rangée de livres d’à côté !

Tu me diras : effet de style, c’est la pénombre de la pièce, ca floute la scène… Sauf qu’on est sur un plan rapproché où l’horloge est vue quand même de près, et on est sur une zone dessinée de près de 2 cm x 1 sur la planche ! Williamson, et je le comprends, est droit dans ses bottes à ce moment là et ne change rien (minus les artéfacts sur le scan, tu verras quand même sur l’agrandissement qu’en vrai pro, comme toujours, il n’a pas dévié du crayonné).

Je me suis amusé à refaire un affichage dans les deux styles possibles. Pour moi, il eut été pourtant si simple de dessiner cet affichage d’une manière qui se tienne au final a minima…

http://dl.free.fr/k039xqTsA

Anonyme a dit…

Ce détail a fini par me frapper quand j’ai appris pour le glaucome. Colan le contracte au début des années 70, mais il se met à empirer rapidement après qu’il ait déménagé, donc fin 1989 – début 1990. Jusqu’à ce qu’il soit successivement opéré au milieu des années 90, il va donc devoir se bagarrer avec une vision qui se concentre de plus en plus en tunnel. De son propre aveu, seul son œil droit est encore valide, le gauche est tout flouté, et cela l’oblige à se rapprocher encore plus de ses planches lorsqu’il dessine.

Sur la planche de la page suivante, la fille se met à cheval sur le cercueil, la caméra recule et se met dans l’axe du cercueil. L’horloge est cette fois placée totalement en plein milieu de la bordure supérieure de la planche. Deux fois plus petite car la caméra a reculé, elle présente cette fois une heure pourtant totalement bien lisible : 17h24 !

Je me suis amusé à reparcourir la mini-série à la recherche des détails dans les décors et les objets des décors dessinés par Colan qui pourraient avoir subis le même traitement (lampe, câble, télés, ordinateurs, tableaux au mur, matériel de salle d’opération) et force est de constater que à l’inventaire que Colan ne fait pas dans l’approximation ailleurs pourtant. Pour reprendre Tom Palmer : les crayonnées de Colan ont toujours été d’une incroyable subtilité, qui n’apparaissait pas au premier abord… Donc pour moi, ce n’est pas possible, il n’a pas bâclé cette horloge consciemment… Il s’est focalisé sur le visage de Dracula, peut-être même en utilisant sa fameuse loupe. Après réception, Williamson ne rectifie rien car il est incroyablement respectueux (je viens de réexaminer une autre de mes planches, ma Leonardi, et à part les jolies torsades classiques décoratives faites au rotring qui étaient une de ses marques de fabrique, il est toujours pile dans les clous). Et que dire du coup du contraste avec le cercueil juste en dessus, formidablement stylisé…

http://dl.free.fr/mus6NNWnz

Anonyme a dit…

… mais qui, lui, est aussi en plein dans l’axe du tunnel et de l’œil droit, dans la zone de vision qui fonctionne encore pour le Gene Colan de 1991, et ce cercueil a peut-être lui-aussi a bénéficié de la loupe en premier...

Je pense que Colan devait être placé parfois dans des situations difficiles à cause de ses problèmes de vision. J’ai retrouvé par exemple aussi une des planches de la série « Harrowers » qu’il a fait 1 ou 2 ans plus tard, que j’avais vue à l’époque.

http://dl.free.fr/vLm9EOUTF

J’ai l’impression qu’on est ici dans une situation inverse, avec un problème lié sans doute à son incapacité relative à pouvoir reculer de sa planche pour se corriger. Le visage de la femme est tellement grand qu’il y a un problème dans la proportion de l’œil gauche et son placement. Là encore, Williamson ne change rien, bien que cette fois il n’ait aucune marge de manœuvre sans modifier le dessin. J’avais d’autres planches de l’époque en tête mais je n’ai pas réussi à mettre la main dessus.

Jusqu’à la fin de sa vie, Colan a dû sans doute se bagarrer avec ce genre de problème. J’ai découvert récemment une commission faite dans les années 2000, où j’ai encore des doutes, mais bon : la Veuve Noire présente à sa gauche de drôle de caractéristiques : un bras démesuré, une vraie « paluche » et pour ainsi dire, plus de bassin !

http://dl.free.fr/kairylRG7

On dira cette fois que c’était l’âge... Il devait avoir pas loin de 80 ans.

Tu jugeras.

Philippe Cordier a dit…

Merci beaucoup pour le temps passé, à scanner...et ton analyse
Très intéressante
Je pense que ton approche du "médical" a forcément du vrai mais je serai pls ssévère que toi sur les approximations, erreurs, anatomie car certes Williamson ne changeait rien, ou presque, mais les approximations chez Colan sont quand même légion (je ne parle pas de ta planche) Il accordait de l'importance à des choses, des rendus..mais bien souvent il en ignorait aussi donc et baclait un peut
l'exemple type, qui amoindri l"intérêt d'un analyse poussée de certaines planches, et son habitude de prendre de la place, à partir d'un plot, et d'étaler des séquences, pour se retrouver coincé à la fin avec plein d'infos à donner avec peu de pages, ce qui donne des pages assez mal composées, ou remplies
cela dit la tienne est bien classe et représentative du duo

Anonyme a dit…

Merci pour le retour.

A mon tour, si tu as quelques liens exemples de dérapages d'étalement (ou des références de numéros si c'est du Marvel en particulier, bien que je dois avoir aussi en DC), je suis preneur.

Philippe Cordier a dit…

ca me donnera l'occasion d'une entrée future ;)

Anonyme a dit…

Ah oui, bien vu ! ;-)

Si tu es en manque de sujets, peut-être pourrais-tu évoquer (si le sujet t'inspire) l'encreur Dave Hunt, car je crois que tu n'en as jamais parlé.

C'est un encreur des 70's/80's qui me semble trop méconnu et injustement sous-côté.
Pourtant, rien que ses encrages sur Byrne pour les Marvel Team Up de la fin des 70's avaient de la gueule, je trouve.

Philippe Cordier a dit…

faudrait que je creuse because je ne connais de lui que son taff sur Byrne justement

Anonyme a dit…

Il a émigré chez DC à la fin des années 70, je crois, car je l'avais retrouvé ensuite dans des récits dans les Superman Géant et Superman Poche de la fin des 70's, début des 80's.
Son rendu sur les grands anciens Pré-Crisis de Superman (Swan, Schaffenberger) était très chouette. J'ai l'impression que c'était le genre d'encreur qui savait mettre en valeur de bons crayonnés.